The 2-Minute Rule for Islam

The 2-Minute Rule for Islam

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« Ce moveé primordial arabo-musulman se donne, en effet, à lire comme un récit composé a posteriori et visant à légitimer un pouvoir musulman confronté à ses propres divisions et à la splendeur des empires moveés ». Cette histoire est une development du IXe et Xe siècles[19].

Pour l'historien tunisien Mohamed Talbi l'évolutionnisme est une vieille custom dans la pensée musulmane, il cite entre autres Ibn Khaldoun[374].

Les chiites considèhire que le califat doit être réservé à Ali et à ses descendants, héritier désigné, selon eux, par Mahomet avant sa mort[208].

Le prophète Mohammed est, bien avant Adam Smith, le tout premier homme à avoir mis en avant l'idée que les marchés et la development des prix étaient régulés par une key invisible (bien qu'il n'emploie pas le terme "principal invisible") : « Il n'y a personne d'autre qu'Allah qui rend les prix faibles ou élevés »[288] ; certains estiment même que ces paroles sont les premières fondations historiques du laissez-faire[289].

Svátek přerušení půstu v Maroku Třicetidenní půst v měsíci ramadán zavedl Mohamed v Medíně na jaře roku 624 namísto jednodenního půstu, který připomínal starší, židovský vzor. Půst od jídla a pití platí pouze pro denní dobu. Povinnosti jsou zbaveni staří lidé, nemocní, těhotné a kojící ženy, ti, kteří konají těžkou fyzickou práci a lidé na cestách.

Posvátné místo všech muslimů – mešita al-Masdžid al-Harám v Mekce a svatyně Kaaba Povinnost vykonat alespoň jednou za život pouť do Mekky ukládá všem dospělým muslimům, mužům i ženám, koránský příkaz (three:ninety seven). Povinnost platí pro každého, kdo je tělesně a duševně zdravý a má prostředky nutné pro cestu. Ten kdo se vydává na pouť má nejdříve doma všestranně uspořádat materiální poměry, zaplatit případné dluhy a zabezpečit rodinu po dobu své nepřítomnosti a zároveň odčinit různé minulé provinění a učinit upřímné předsevzetí žít nadále ctnostněji vůči Bohu i lidem.[seventy two] Rituál poutě určil Mohamed, ovlivněný arabskými kulty i židovským a křesťanským monoteismem.

“ Toto krátké vyznání svou první částí řadí islám k monoteistickému náboženství a dále poukazuje na Mohamedovo prorocké poslání, čímž zahrnuje víru ve zjevený Korán. Pokud se chce nevěřící stát muslimem, musí pronést šahádu, dnes zpravidla před významným islámským činitelem. Stačí ji však vyslovit v přítomnosti dvou svědků a pořídit úřední záznam. Při tom je samozřejmě důležitá upřímnost a poctivost záměru.[66]

Pour ces traditions, « il tuera les porcs, brisera la croix, détruira les synagogues et les églises, et tuera les Chrétiens sauf ceux qui croiront en lui »[185]. Son retour sur terre, en tant que Massih (Messie) musulman, est le signe de la fin du monde et du Jugement dernier tandis que beaucoup de hadiths le présentent comme le principal compagnon du Mahdi, Sauveur de la fin des temps[Note 31].

Les critiques négatives contemporaines, faites à l'islam par de nombreux auteurs de pays dont les systèmes politiques sont laïques ou séculiers, sont pratiquement les mêmes que celles faites aux deux autres religions monothéistes : obscurantisme, more info misogynie, phallocratie, homophobie, intolérance, éloge de certaines violences, and so forth, et partage avec le christianisme l'antisémitisme[371].

Chahada (« déclaration de foi ») : elle représente une partie du credo islamique et consiste en une phrase très brève : écouter (أَشْهَدُ أَنَّ لَا إَلَهَ إِلَّا الله وَ أَشْهَدُ أَنَّ مُحَمَّداً رَسُولُ الله) « Je témoigne qu’il n’y a de véritable divinité qu'Allah et que Mouhamed est Son messager.

Toujours selon ces traditions, peu après la mort de Mahomet (en 632), un Leading recueil du Coran fut compilé sous l'autorité du Leading calife et beau-père de Mahomet, Abou Bakr As-Siddiq[116], qui, à la demande d'Omar ibn al-Khattâb, lorsqu'un grand nombre de compagnons ayant mémorisé le Coran par cœur furent tués à la bataille d'Al-Yamama, fulfilled le scribe du prophète Zayd ibn Thâbit à la tête d'une commission ayant pour mission de réunir tous les passages récités de son vivant afin de les sauvegarder dans un écrit déposé entre les mains de sa fille Aïcha, veuve de Mahomet.Le troisième calife, Othmân ibn Affân (644-656), à la suite de divergences de récitations survenues entre Irakiens et Syriens, aurait demandé à Hafsa de lui prêter le manuscrit en sa possession afin de fixer un texte exclusive et officiel à partir de cette édition et d'expédier des copies reliées dans les différentes provinces musulmanes[7],[117].

Pour l'historienne Jacqueline Chabbi, l'islam des origines souffre encore d'un déficit d'historicité. La lecture historico-critique qui s'est appliquée pour « le judaïsme et le christianisme n'a guère contacté l'islam jusqu'à prédespatched[eighteen] ». L’étude de cette période reste complexe, pour des raisons méthodologique et l’état des sources.

Selon Alain Besançon, le musulman croit à la perfection de sa Loi. De son position de vue, elle est modérée et tient le juste milieu, c'est-à-dire le chemin raisonnable de la vertu. Elle lui apparaît comme in addition adaptée à la character humaine que la loi chrétienne (notamment en matière de sexualité) et comme marquant par rapport à la loi juive, dont elle reprend bien des article content (cf.

Un des premiers interdits coraniques liés à la nourriture concerne les excès[314]. Au-delà, d'autres interdits définissent les aliments — principalement d'origine animale — et les boissons autorisés dans le cadre de la charia.

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